Sora Akio Age : 31Chambre : N°1Nombre de messages : 4 Sujet: Sora Akio ♂ [Fini] Dim 9 Déc - 22:32 Sora Akio
Description physique
On me trouve souvent des adjectifs positifs, de temps en temps négatif par rapport à mon physique, mais bon à vous de voir. Hé bien, par où commencer par contre ? Je suis plutôt grand, je dois bien mesurer autour du mètre quatre-vingts voire un peu plus, mais quant à mon poids ne me demandez pas, enfin, j'imagine que je pèse aux alentours de soixante-quinze kilos voire plus enfin, je ne sais pas forcément combien exactement. Mes cheveux sont de couleur noire tout comme mes yeux, des traits plus ou moins fins, des taches de rousseur apparente sous mes yeux. Quant au corps, autant dire que je ne suis ni obèse, ni maigre, dans la moyenne en étant musclée. Enfin, pour terminer, les vêtements, la plupart du temps dans le pensionnat je porte l'uniforme, par obligation, autant dire par contre que je ne boutonne pas tous les boutons de ma chemise, laissant toujours deux boutons en haut et en bas libre et que ma cravate n'est pas serrée, elle est largement libre, voire même des fois je ne la porte pas, par contre quand j'en suis à l'extérieur c'est tout autre chose, souvent torse nu quand il ne fait pas trop froid, bermudas avec une ceinture orange, chapeau de cowboy, bref je ne vais pas donner tous les détails. Un point commun par rapport à mes deux tenus, je porte un bracelet et un collier de perles rouges.
Description du caractère
Alors là, je vous laisse le choix de penser ce que vous voulez de mon caractère, autant dire que je suis légèrement arrogant, mais pas non plus au point d'un orgueil, je suis seulement fier de ce que je suis, je me défends seulement quand on m'attaque, que ce soit oralement ou physiquement, mais il vaut mieux ne pas me chercher, je suis très impatient et parler un certain temps quand je suis de mauvaise humeur ou bien en colère ce n'est pas ma tasse de thé, en tout cas la plupart du temps j'essaye de me retenir, sinon je me défoule sur quelque chose, un truc qui me tombe sous la main, mais j'évite les amis ou bien les personnes, enfin, j'essaye de croiser personne lors de ces genres de jour. Sinon, à part ça, je suis très sympathique, gentil, amical, bref je suis ouvert à tout le monde, je préfère ne pas juger au premier abord, après faut voir comment vous vous comportez avec moi, je peux être très désagréable comme je pourrais être très amical avec vous, après comme vous voulez. Enfin, bon je suis assez lunatique, je m'ennuie assez souvent alors je pense à autre chose, la plupart du temps on le remarque quand je m'allonge au sol et regarde le ciel, ou alors en cours où je regarde le plafond, même si l'on croirait que je n'écoute pas le cours, je suis capable de restituer la question et d'y répondre. Dernière petite chose, je suis un peu pyromane, j'adore le feu et joue avec donc ne vous étonner pas de me croiser avec un briquet même si je ne fume pas, d'ailleurs en y pensant, j'aime le feu et j'aime aussi manger et chanter, enfin, j'ai appris le chant, j'aime chanter et je chante ce qui me passe par la tête, sinon j'aime bien en inventer sur un air.
Votre histoire
Chapitre 1: Deux frères inséparables "Là où je vais, tu me suis, nous sommes toujours présent l'un pour l'autre, je suis l'aîné toi le cadet, et nous sommes inséparables!" C'était un jour de chaleur abondante, un jour d'été, en plein mois d'août, je sortais comme tous les bébés, normalement. Nous sommes le 12 août et mes parents sont eux heureux comme jamais, je suis leur premier enfant. Je grandissais sous la bienveillance de mes parents, jeune, naïf, comme tous les enfants, bref, mon enfance se passa en toute sérénité jusqu'à mes trois ans, où j'appris que j'allais avoir un petit frère, j'attendais avec impatience ce petit nouveau de la famille et ne cessais de poser la question "quand est-ce qu'il arrive ?". Autant dire que jusqu'à maintenant, je me sentais un peu seul, même si mes parents faisaient tout pour me rendre heureux, mais avec cet arrivant, je pense que je peux m'attendre à tout. Enfin, le jour de la naissance de mon petit frère arrive, nous sommes un jour d'été, tien encore, à croire que mes parents aiment cette saison, cette fois-ci en juillet, le 15 plus précisément, je suis là, à côté de mon père, ou plutôt me portant, pour voir le nouveau-né, porté dans les bras de ma mère, ou plutôt notre maintenant, vu que nous sommes deux. Le temps passait, je m'amusais avec mon frère, ce n'est que deux ans plus tard, j'avais cinq ans, que l'on déménage en France, pays natal de ma mère, car oui, ma mère est en fait française et visiblement son pays lui manquait un peu. J'appris donc là-bas le français en plus du japonais avec mes parents, nous y sommes restés dix années avant de repartir au Japon. Pendant ses dix années, il s'est passé énormément de choses pour nous deux, moi et mon frère, en fait nous étions inséparables, impossible de ne pas nous voir ensemble lorsque nous étions hors des cours, mais toujours très bien entouré, même si par un certain nombre de personnes on était mal vu, de par notre jeunesse, notre arrogance ou quand bien même les personnes qui nous entouraient, autant dire que quand une personne voulait quelque chose à un des amis, s'il ne disait pas qu'il y allait tous seul, c'est tous le monde qui y allait. Autant dire qu'il y avait de la joie assez souvent, mais des choses plus tristes se faisaient. Ma mère commençait à avoir la santé fragile, même si elle résistait plutôt bien sûr l'instant. Nous continuions notre route, en prenant soin de notre mère. J'avais pris des cours de chant, tout en faisant du sport, à côté et mon frère des cours de dessin, j'aimais beaucoup le chant et les dessins de mon frère qui progressait, ma mère aimait aussi le chant et avait plaisir à m'entendre, sachant que je chantais dans mes langues apprises c'est-à-dire le japonais, le français et l'anglais, mais elle aimait tout autant les dessins faits par mon frère qu'elle ne pouvait s'empêcher d’accrocher un peu partout à ne plus savoir qu'en faire, au moins elle ne faisait pas de jaloux, chacun ses câlins et ses compliments. Nous sommes tous retourné au Japon, j'avais 15 ans et mon frère 12 ans, nous réintégrer dans notre pays fus facile, mais le temps fut court avant que les malheurs arrivent...
Chapitre 2: L'épreuve de la mort "La vie est faite d'épreuves, dur ou facile, se sont ses épreuves qui nous rendes plus fort, il faut savoir continuer à avancer malgré la difficulté." Nous sommes une année plus tard, une journée normale se passe, habituelle, et pourtant, je sentais cette journée mal. Nous sommes le jour du printemps, autant dire que la nouvelle apprise dans la journée n'est pas joyeuse, bien au contraire. Lorsque l'on rentre en fin d'après-midi, après avoir un peu traîné, la maison est en plein silence, rien, pas un bruit, pas de bruit de plats qui se préparent, rien, nous nous demandions, moi et mon frère, ce qui pouvait bien se passer pour qu'il y ait un silence pareil. Un bruit de fermeture de porte se fit entendre vers les chambres, nous nous y dirigions alors, lorsque nous voyons notre père, regardant la poignée de porte, d'un visage plutôt neutre, mais son regard avait l'air triste, un nouveau silence pesant s'installa, mais fut rapidement coupé par les paroles de mon frère en disant "Papa ?" ce qui fit réagir notre père tournant la tête vers nous et nous fit un sourire, simple, puis se rapproche de nous, en nous disant, d'une voix assez triste tout de même, que notre mère était malade, on en avait l'habitude depuis un certain temps, mais là c'était visiblement plus grave, je demandais si on pourra la voir et il nous dit qu'on la verrait plus tard, après avoir mangé. Il nous dit de sortir un peu en restant devant la maison et qu'il nous appellerait pour manger. Le ciel était devenu oranger, le soleil se couchait petit à petit, tandis que je tournais en rond au milieu de la rue, mon frère quant à lui était recroquevillé sur lui-même, on ne parlait pas, pour une fois, on n'avait rien à dire et c'était bien une des rares fois où un réel silence pesait comme ça. Des gens passaient, je les saluais, des potes passaient par là, on a discuté un peu, mais sans plus. Le retour du silence, alors que la nuit commençait à prendre place, notre père nous appelait pour manger. Le repas se passa sans un son, sans une parole. On ne mangeait pas énormément comme d'habitude, j'avais à peine touché à mon assiette. Nous avions terminé notre repas et l'on se dirigea tous à la chambre de notre mère, elle était réveillée et venait juste de terminer son repas. On ne posa aucune question comme un "comment ça va ?" car l'évidence est elle-même présente. On discutait un certain temps, puis nous sommes partis dormir. Que dire de plus ? Que nous avions du mal à trouver le sommeil cette nuit-là, je regardais le plafond, lorsque mon frère me posa une question, il me demanda si j'avais déjà pensé à ce que quelqu'un de la famille nous quitte subitement, un silence de quelques secondes s'installa avant que je réponde que je n'y avais jamais pensé, par la simple peur de perdes quelqu'un qui m'est chère à mes yeux, moi-même je n'avais pas peur de la mort, mais perdre quelqu'un d'important, je ne sais pas vraiment comment je réagirais, mais je serais surement choqué. Je lui retournais la question et lui-même ne s'imaginait pas perdre quelqu'un de la famille. Finalement on parla un peu avant de nous endormir petit à petit. Les jours se suivirent tous comme ça, jusqu'au jour de la mort de notre mère à cause de sa maladie. Alors qu'un jour on rentre à la maison, on voit notre père assis à côté de la table, le regard au sol, au moment où l'on arrive il tourne un regard vers nous, je dis mot pour mot ce qu'il nous a dit: "Je ne vais pas vous mentir, votre mère est morte", simple, direct, ce que j'aimais bien chez mon père, mais ne nous perdons pas dans les détails, c'était un choc pour moi, je ne réagis pas, je restais planté là, un choc, une peine, une perte. Ce doux visage maternel que je ne reverrais plus jamais, lorsqu'une larme coula de mon visage, puis plusieurs suivies, je revins sur terre lorsque j'entends les pleurs de mon frère, je me tournais dans sa direction et le prenais dans mes bras, notre père se joint à nous, disant qu'il fallait être fort. Un certain temps passa, combien je ne sais pas, mais nous sommes tous partis dormir, tout du moins si on le pouvait...
Chapitre 3: Un lien perdu par le sang "Les liens se brisent mais on peut les renouer, sauf si l'un des deux n'est pas en accord avec ce lien" Les journées se succèdent les unes après les autres, dans la peine, après avoir réglé tout problème d'héritage et avoir enterré ma mère en France et être revenus au Japon, la vie avait repris son cour normale, ou presque, tout du moins sans notre tendre mère. Le temps passa, longtemps, doucement, mais la perte de notre douce mère avait eu des graves répercutions morales sur une personne de notre famille, notre cher père. Il tomba petit à petit dans l'alcool et la drogue, il n'avait pas supporté la perte de cet amour que l'on aurait pu croire éternel, mais toutes choses ont une fin et celle-là fut finie plus tôt. Destruction morale, colère inexpliquée, tristesse, désespoirs, tout cela devenait de pire en pire, autant dire que tous les trois on était un cas différant, finalement on se séparait tous petit à petit sans réellement s'en rendre compte, je vous ai déjà cité le cas de notre père, mais entre mon frère et moi il y avait des disputes, arrivant parfois aux poings, mais certains liens se renouent toujours. Je me souviens d'un jour, un jour qui fut marqué par le sang de mon frère. Alors que nous nous étions disputés dans la soirée, je restais dans ma chambre tandis que mon frère lui était sorti, laissant grande porte ouverte. Je réfléchis à côté de l'ouverture, je vidais mon esprit et écoutais les bruits extérieurs, j'entendis mon père hurlait, mais après qui ? Aucune idée sur l'instant, puis j'entendis mon frère, crier, hurler, appelant à l'aide, je me levais rapidement et allant directement au salon et là un nouveau choc, je vis mon frère, au sol, l'épaule et la joue blessées, terrifié, tremblant, d'une main se tenant l'épaule, mon père, lui de dos, tenait un couteau de cuisine ensanglanté par le sang de mon frère, il lève une nouvelle fois le couteau pour blesser encore mon frère, mais je cours vers lui et lui attrape le poignet en lui ordonnant de s'arrêter, ce qu'il ne fit pas, tentant de se dégager, criant et bougeant dans tous les sens, je le tenais fermement pour qu'il ne fasse plus de dégâts, mais lui ne voulait pas, il ne coopérait point, disant des injures et qu'il voulait tuer, à croire qu'il ne s'entendait pas parler. La tristesse m'avait envahi sur le coup, n'y avait-il rien à faire ? Pourquoi autant de difficultés et de malheurs à la suite ? Pourquoi n'y a-t-il rien pour stopper ce carnage ? Au final j'avais mis à terre mon père, lui retirant le couteau des mains et le faisant chuter avec mon pied, je le vis pleurer ensuite en se mettant une main devant le visage et se demandant pourquoi il a fait ça. Je le regardais, d'un regard noir, même si une larme coula, je restais de marbre. Nous disant d'aller manger un bout et d'aller dormir, nous passions d'abord par les soins de mon frère, il n'avait pas perdu beaucoup de sang, mais il avait ressenti une terrible peur qui l'avait choqué et paralysé sur l'instant, il n'avait pas compris pourquoi cette réaction de la part de notre père. Après avoir soigné mon frère et manger, nous nous dirigions vers notre chambre, je repassais tout de même dans le salon pour lui dire bonne nuit.
Chapitre 4: Malheurs enfin terminés. "Plus d'inquiétudes, tout ceci est enfin terminé" C'était bizarre, je haïssais mon père et en même temps je l'aimais bien, d'un côté il avait blessé mon frère et je le détestais, de l'autre mon amour paternelle. Pour mon frère, je n'en avais aucune idée de ce qu'il pensait, je n'étais pas dans sa tête, encore moins lui, mais je ressentais une certaine peur qu'il avait qui s'estompa avec un peu de recul et de temps, mais nous avions renoué des liens plus forts maintenant. Alors que du côté de mon père, j'avais l'impression que c'était de pire en pire, il arrêta de travailler, il restait enfermé, il ne nous parlait pas, jusqu'à même aller à la tentative de suicide qui échoua et le fis tomber dans un coma pendant deux semaines. Inquiet, on allait le voir de temps à autre, mais un jour, ce fut le point final de sa vie, de son existence, il nous laissait seuls, il allait rejoindre la mort parmi ceux qui l'ont précédé. C'était l'un des jours des plus banales, un jour de temps de pluie, mais dans la journée on apprend que notre père est de nouveau dans le coma, j'avais envie de dire banale, mais ce qui me fit tout de même un énorme choc. Un bref résumé fut, comme quoi une voiture arrivait, il fonça dessus et la percuta, tombant dans le coma. Je ne comprenais absolument pas pourquoi il tentait à tout prix de faire un suicide, à quoi bon cela lui servirait, il ne profitait pas de la vie, même si c'était dur il pouvait bien tenter de se redresser, mais non, rien à faire, il continuait de tomber. Trois semaines passaient, trois semaines d'inquiétude, je ne savais pas si mon père se battait pour survivre, même si des soirs je venais et lui disais de continuer de vivre malgré la difficulté, rien à faire, c'était au final bien trop tard pour lui dire, il est mort trois semaines plus tard. La même pour que pour ma mère, mon frère a pleuré, mais a été plus fort cette fois-ci, enterrement, héritage. Autant dire qu'une personne nous a pris sous son aile et c'était notre marraine du côté de notre père, dire qu'elle était jeune était vraie, elle avait tout de même huit années de différence entre eux. C'était une personne admirable et forte de caractère et ne s'abaissait à rien. Son travail ne lui permettait malheureusement pas de s'occuper autant de nous que nos parents, on fut donc envoyés dans des pensions réputées. Moi je fus donc envoyé au Pensionnat Yorihiko et autant dire que je me suis adapté rapidement, mais aussi populaire rapidement. Aujourd'hui... Aujourd'hui j'ai 19 ans, je suis dans ce pensionnat depuis que j'ai 16 ans donc bon cela fait trois ans, tout de même, mon frère me rejoins pour une année, je sens qu'on va tout de même bien s'éclater. Bon, j'ai fait le tour, enfin, je crois que je n'ai rien oublié. Allons, que peut-il bien arriver de délirant pour cette année ?
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