Il a des yeux ébène tout comme ses cheveux. Ces derniers sont court et bien coiffés même s'il ne les coiffe presque pas, voir jamais. Il a une peau pâle, s'apparentant à celle d'un vampire, mais n’ayez crainte mortel, il ne l'est pas. Il n'est pas très grand, mais dans la moyenne, son poids est correct. Une fine musculature pas très prononcée malgré le fait qu'il fasse du sport. Même si on ne voit pas beaucoup ses muscles, il pourra quand même vous mettre par terre. Il a un nez, comme tout humain, et une bouche légèrement rose, enfin il est normal! Son style vestimentaire fait assez militaire : bottes noires avec des attaches grises. Kaiden s'habille souvent en noir, il a une veste longue, sombre. Souvent un T-shirt en dessous. En fait il aime les couleurs obscures, mais grâce à ce style vestimentaire militaire se composant beaucoup de noir, sa peau n'en est que plus blanche. Dans l'ensemble on peut dire que Kaiden est beau.

Kaiden, est assez posé, et à l'écoute avec ses amis, même si le jeune homme qu'est Kaiden n'en a jamais vraiment eu. Sinon il est distant et sur de lui. Assez froid, il ne parle pas pour rien dire. Le monde n'est fait que d'oiseau pour lui, des milliers d'oiseaux dans une basse-cour, tous avec leur propre caractère, joyeux, hautains, égoïstes, envieux... Plusieurs groupes de personnes, traînant ensemble juste pour se faire populaire, c'est la nature humaine qui a voulu ça mais il y a des exceptions. Il ne se croit pas supérieur à ce qu'on pourrait penser de lui. Non, il est juste réaliste, au premier abord ça n'a l'air que d'une personne n'aimant ni la vie ni les gens pourtant c'est tout l'inverse il sait juste les apprécier différemment. Il admire le monde, cette chaîne naturelle, si une espèce disparaît tout peut changer. Kaiden pense aussi que s'il y a des choses qui existent ce n'est pas pour rien et il trouve ça bête de le gâcher. Voilà sa vision du monde, mais bien sûr, derrière cette façade, se cache quelqu'un d'autre, et c'est à vous de le découvrir.

New York, 10 Décembre 1995.
Cette journée était bien froide, comme toute journée d'hiver. Enfin d'automne, les gens disent souvent que le mois de décembre c'est déjà l'hiver, mais non l'hiver c'est le 21. Et pas avant. Mais ces détails ne paraissent pas important, mais tous ce qui se passe est à prendre en compte. Bref, revenons à cette histoire que je vais vous compter du début à la fin. Je vais m’intéresser qu'à cette famille, les Evans. Ce qu'ils ont vécu est bel et bien banal mais croustillant, vous allez voir pourquoi. Madame Evans, de nom de jeune fille Owen, car maintenant elle était marié et surtout enceinte de monsieur Evans. Normalement, l'accouchement était prévu pour le 12 décembre, et ce jour approché. Les médecins prévoyaient une fille, le futur père s'angoissait " Pour rien" disait la mère. Mais, quelque part il avait raison, le monde était en crise, et eux aussi était touchés. Avec leur petit salaire de chômeur (même si ce n'est pas un métier) et caissière, ils avaient tout juste assez de quoi payer le loyer du studio qui les loger alors avec une fille en plus... En attendant ce "jour" qui réjouissait la femme malgré quelques contraction la tordant de douleur, il préparait des vêtements pour la petite mais surtout finissais d'aménager sa chambre. Les deux futur parents était tout deux libres : la mère en arrêt de maternité et le père chômeur, tout les deux avaient du temps devant eux. Ce "jour" si attendu finit quand même par arrivé. Situation critique : la chambre avait été aménagé pour une fille. Deux bouches et non une de plus à nourrir.
New York, 12 Décembre 1995.
Le père Evans eu un frisson en voyant des infirmiers arriver en vitesse avec des poches de sang. Il les suivit, et ce qui découvrit fut des plus choquant. Sa femme mourrait, partait ailleurs, où elle n'aurait plus de problème mais aussi où elle ne verrait jamais Ses enfants grandir. Et lui, monsieur Evans ne pouvait rien faire pour la sauver. Juste la regarder partir...
New York, 13 Décembre, 1995.
Situation plus que critique : plus d'argent et des enfants qui vont grandir dans de mauvais états. C'est pour cela que l'adulte décida de donner à adopter ces enfants. Il avait nommé ces enfants Kaiden et Zackary, l'un était blond et l'autre brun. Complètement différent, le plus grand était le petit blondinet, Zackary, 1min20sec d'écart. A peine deux jours plus tard, il avait trouvé deux familles voulant un enfant. Le blond se fit adopté par les Adams et le brun par les Von Gewalt, famille d'origine allemande dont le père était militaire et donc partait souvent d'un endroit à un autre, sa femme et son fils adoptif le suivant.
A partir de maintenant notre cible et Kaiden. Il vivait normalement, le fait de savoir qu'il avait un frère jumeau perdu ne le dérangeait pas. Il était bon à l'école, quoi que quelque peut bizarre... Une fois il était New York, l'autre en Italie puis en Espagne... Le boulot de son père lui a permis de beaucoup voyagé, mais pas à son plus grand bonheur. Bien sûr il en était assez fier d'avoir un père comme ça, il aimait sa famille, et en plus il avait appris à manier un peu le sabre mais le problème c'est qu'il ne pouvait garder à chaque fois ses marques. A chaque déplacement, il suivait son père adoptif qu'il aimait comme un vrai père, et d'ailleurs, ce vrai père, à ces dix ans quand il a été en âge de comprendre il lui a expliqué. "Tu sais Kaiden, il y a un quelque chose que nous devons t'expliquer ta mère et moi. Je ne vais pas te mentir, tu sais déjà que tu as été adopté, car ton père manquait d'argent, mais on t'aime comme notre propre fils, et j'espère que tu n'en doute pas." L'homme fit une pause puis reprit. " Ce que nous ne t'avons pas dit, c'est que tu as un frère jumeau. Ailleurs, sûrement encore à New York. Après que ton père t'ai confié à nous, il nous a recommandé que les deux familles s'envoient une photo de l'enfant. Et nous avons reçu ça hier. Tiens." Il lui donna une image.
Ces paroles n'intriguèrent pas l'enfant, et il n'en voulu pas à ses parents. Non, ça lui était égal. Du temps à passé, puis, il décida qu'il devait gagner sa vie tout seul, qu'il devait se débrouiller même s'il le faisait déjà. Alors que sa famille était au Japon, il chercha un pensionnat. Il dit un beau jour à ses parents. " Je ne veux plus vous gêner! Je décide d'aller à Yukio, s'il vous plaît payez moi juste de quoi rentrer dans ce pensionnat et je ne vous demanderais plus rien! C'est tout ce que je souhaite..."
Les Von Gewalt, avait accepté, la mère avait même déclaré que c'était mieux comme ça.
Japon, 18 Février.
C'était le jour où il commençait son premier jour, il n'était pas pressé mais un peu excité...